Refuge de Nice

Tout au bout de la route de la Gordolasque : cul--de-sac et parking. Après, on va à pied, plus ou moins le long du torrent. DSC04238a - DSC04239a Mais oui, c'est bien la cabane ... ... du film Belle et Sébastien. Au loin, les pointes de l'Estrech. Pensée tricolore (Viola tricolor) mais toute jaune ? Ici la faune se sait à l'abri ... ... et ce chamois n'est pas trop farouche. DSC04247a DSC04248a En voilà un qui pose vraiment ...
...  une vraie statue ! Le col est en vue. DSC04252 - DSC04253a DSC04254a La bête et l'homme. Cascade de l'Estrech Arrivée au Mur des Italiens. En fait, le chemin est une ancienne « route du sel ». Cette chicane a été édifiée plus tard  en pierres sèches pour protéger le comté de Nice des Autrichiens. À partir de là, il commence à y avoir quelques névés. DSC04260 - DSC04261a DSC04261azoom DSC04262a
DSC04263a Une grande tourbière, encore en sommeil hivernal. DSC04264a DSC04266a DSC04267a La retenue du lac artificiel de la Fous.  Sert à alimenter la centrale du Countet (dans la vallée, nous irons d'ailleurs voir plus tard). Le lac est encore entièrement gelé. DSC04270 - DSC04274a Nous n'irons pas jusqu'au refuge : trop de neige et nous ne sommes pas équipés. Une petite halte avant le retour. Il y avait quand même plus de deux heures de montée. DSC04279a DSC04280a
DSC04281a DSC04282a DSC04283a Encore un jeune bouquetin ... ... plus curieux qu'effrayé, ... ... au pelage encore immature. Primevères officinales (coucous, Primula veris). Comestible. Les feuilles sont anti-ecchymotiques. Feuilles et  racines ont des propriétés analgésiques, anti-spasmodiques, diurétiques, pectorales et expectorantes. DSC04288a Retour au « refuge du Grand Baou » du film Belle et Sébastien ... ... et fin de la randonnée. DSC04291r - DSC04292ra